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COUPS DE COEUR DES BÉNÉVOLES

"...Mais la vie continue" de Bernard PIVOT . Ed- Albin Michel

 

Résumé :

Son dernier livre "...mais la vie continue" est un roman d'inspiration biographique, écrit à l'aube de la retraite, après une vie intense, vécue à 100km/h... C'est l'histoire d'un homme qui vient d'avoir 82 ans. Déjà ?

Une autre vie commence pour lui avec l'angoisse des défaillances du corps, les anxiétés de l'âme et la peur de perdre ses vieux amis.

MAIS maintenant il peut prendre son temps et le perdre. Alors il nous dévoile ce qu'est le "grand âge" pour lui avec toujours sa curiosité, sa lucidité et son humour.

Il donne une leçon de " sagesse " où chacun pourra puiser quelques recettes pour " vieillir heureux ".

À lire sans à priori.

 

Martine : 

" Le dernier livre de Bernard PIVOT nous conduit sur une route souvent longue et difficile. Le grand âge, que nous appelons communément la vieillesse, est une période redoutée par beaucoup. Les affres de l'âge, les défaillances du corps et de l'esprit, les souffrances physiques et morales, et l'avenir tout simplement, sont autant de difficultés à  accepter ce tournant vers la dernière étape de la vie; Mais il n'est pas pour autant un livre pessimiste, car on y retrouve l'humour, la fantaisie et la lucidité de l'auteur; On le lit avec plaisir et tendresse car il est écrit de manière fluide, avec vivacité et finesse.

 

Selon l'auteur quelques petits conseils pour " vieillir heureux " : Ne jamais se plaindre, Être de bonne humeur, Entretenir sa curiosité, Ne pas s'isoler, Profiter ( essayer des nouvelles choses  ), Rêver. Et pour finir sa philosophie : " À long terme je n'ai plus beaucoup de temps, À court terme j'ai tout mon temps. "

 

Un bel éloge !

 « Le gosse » de Véronique OLMI. - Ed. Albin Michel

 

Sylvie :

" Ce roman glaçant, c’est, dans la première moitié du XX ème siècle, le calvaire d’un enfant de l’Assistance Publique, que sa passion de la musique sauvera.

La vie de Joseph, 8 ans, né dans les quartiers défavorisés de Paris, bascule lorsqu’à la disparition de sa mère, il devient pupille de la nation. Il est placé à l’Assistance Publique et sa vie ne sera alors plus que silence, violence, abus et privations. Il ne devra son salut qu’à son courage, son amour de la musique et le lien affectif qui le lie à un autre petit garçon de l’institution. "

 

Véronique Olmi nous livre là, une évocation de la maltraitance exercée sur ces enfants sans aucun voyeurisme. Elle nous dépeint ces « maisons de correction » en s’appuyant sur le livre d’Alexis Danan : « Maisons de supplices », ouvrage qui contribua à révéler cette maltraitance et aida à la fermeture de ces établissements avant la promulgation des « Droits de l’enfant ».

 

Véronique Olmi c’est aussi :

-          Bakhita

-          Les évasions particulières

-          Nous étions faits pour être heureux

 

-          Le premier amour …